Scene 5. Le nombrilisme ne tue pas. Les chansons de Jeff Buckley, si.

Yahaaaaa ! J'ai regardé les trois premiers épisodes de Desperate Housewives ! Trop de la boule, je sens que va y avoir du muscle bodybuldé cette saison ! XD. N'étant pas en possession d'un décodeur  cannal+, j'ai tranquillement profité  de l'enregistrement de la tante de Agathe R. =) mais bon, en contrepartie, Émilie N. et moi, on avait quand même apporté du ravitaillement [deux paquets de maltesers, une plaquette de chocolat au lait praliné et un paquet de kinders, comme ceux de la pub avec le livre]. Bref, le jardinier qui n'est plus le jardinier, mais qui est toujours mega sexy de Gabrielle est de retour. Tout mon être intérieur est en émoi, c'est la joie intersidérale dans mon chacra si tu préfères. Bon je sais, s'extasier devant un mec à la télé qui sait même pas que t'existes en vrai peut paraître totalement superficiel, mais figurez vous que ça occupe ! En tant que célibataire plus qu'endurcis, je me doit de respecter certaines règles comme par exemple, savoir remarquer un derrière potentiellement pelotable à 500 m de circonférence, oui oui, nous les filles aussi on fait ça, on est plus discrètes c'est tout =D. Bref, j'étais pas la pour parler de mes circonstances atténuantes [en plus en ce moment même j'écoute Hallelujah de Jeff Buckley, suis donc suiscidaire le temps de la chanson, est donc préférable d'éviter les sujets qui fachent tel que le célibat chronique]. Sinon, miracle, Émilie N. a fait un nouvel article, vous vous en foutez ptètre mais ce genre de phénomène est tellement rare, que je me devais de le signaler. Wala. Sinon vous, ça boum ? [c'est vrai ça, je vous pose jamais la question, qu'elle nombriliste je suis !]